L’incubateur, qu’il dirige avec bienveillance et exigence, est devenu un véritable catalyseur. 86 % des startups accompagnées sont toujours actives. 43 % ont levé des fonds en amorçage. Deux ont été rachetées. Certaines dépassent déjà le million de chiffre d’affaires. Mais au-delà des métriques, Corentin défend une autre vision du succès : « L’ESSEC a toujours été une école de pionniers. Aujourd’hui, on a besoin d’entrepreneurs responsables, capables de créer de la valeur durable, pas seulement des profits. »
 

 
Très impliqué dans la création d’une culture de la communauté, il veut faire de l’incubateur un espace sûr, une safe place pour tester, échouer, rebondir. « Il y a une grosse part psychologique dans l’accompagnement. Il faut capter les signaux faibles, aider les fondateurs à prendre du recul. »
Fidèle à son école, Corentin continue de tracer sa voie sans renier ses racines. Engagé, passionné, il incarne à merveille cet esprit ESSEC où entreprendre n’est pas un simple choix de carrière, mais un élan. Une vocation.
 
