L’Executive MS International Business Development au service des managers internationaux

8.10.2020

Un projet de formation continue en business development ? Un projet d’évolution à l’international ? Retrouvez l'Executive M…

Un projet de formation continue en business development ? Un projet d’évolution à l’international ? Retrouvez l'Executive MS International Business Development (IBD) à l’ESSEC Executive Education. Mondialement connu sous son précédent label “SMIB” et sa large communauté de plus de 2000 diplômés, le programme change de nom en 2020 et se recentre sur le coeur de son expertise. Découverte avec Anne-Flore Maman Larraufie, PhD, directrice académique du programme pour découvrir ce programme d’exception.

 

Pourquoi avoir décidé de renommer le programme ? 

Anne-Flore Maman Larraufie, PhD : Classé 3e au monde dans sa catégorie par QS en 2020, ce programme a une longue histoire et un fort réseau qui restera toujours lié à la vie du programme. Néanmoins nous souhaitions un nouveau nom qui permettait de refléter pleinement le cœur de métier du programme, qui consiste à former les participants à devenir de véritables managers à l’international.

En observant les débouchés et la carrière de nos diplômés, il a été décidé de le renommer Executive MS International Business Development, un nom en totale cohérence avec le contenu, l’évolution des diplômés et le but de ce Mastère Spécialisé accrédité par la Conférence des Grandes Écoles, qui est de développer une véritable expertise.

 

Pourquoi le suivre ?

Anne-Flore M.L, PhD : Cet Executive MS s’adresse aux professionnels souhaitant :

  • se déployer à l’international en dirigeant des équipes multiculturelles

  • capitaliser sur leur carrière à l’international en développant une entreprise ou business unit

  • se challenger et relever de nouveaux défis professionnels

  • prendre du recul sur leur expérience passée

  • se former, acquérir de nouvelles compétences et approfondir leurs connaissances

  • travailler dans le conseil et le développement à l’international.

 

Comment se structure le programme ?

Anne-Flore M.L, PhD : L’Executive MS IBD est un programme dispensé en anglais, intrinsèquement international et structuré en 4 temps forts :

  1. Le tronc commun sur les grands enjeux du management

  2. L’expertise métier : international business development

  3. Le module électif dispensé en présentiel ou en ligne

  4. La thèse professionnelle

L’idée est d’apporter une expertise en business development, à la fois sur des connaissances pratiques techniques et des soft skills, à travers un programme structuré et structurant mais aussi un accès à un électif et des activités optionnelles, disponibles, en fonction de ses appétences, qui permettent d’apporter une dimension internationale à son parcours.

Outre les cours et les séminaires qui sont obligatoires, les participants ont la possibilité de participer à des activités optionnelles, à forte valeur ajoutée.

Exemples : un cycle de conférences, un séminaire de lobbying européen ou encore la Digital Week Competition proposée à Cergy…

  

Qui sont les participants et que deviennent-ils ? 

Anne-Flore M.L, PhD : Le programme accueille une variété de professionnels, nationaux et internationaux, de différents secteurs d’activité, aux parcours et d’âges variés :

  • de nombreux ingénieurs avec un profil scientifique et un parcours technique

  • une part de participants avec un background business, droit, sciences social ou humanités

  • accessible dès 28-30 ans, l'âge moyen des participants est de 37 ans avec un large écart-type, ce qui fait la richesse des rencontres entre différentes profils de carrière.

De manière générale, les participants du programme viennent acquérir des compétences supplémentaires et reconnue au-delà  des aspects techniques qu’ils ont pu avoir dans leur métier jusqu’à présent. En termes d’évolution de carrière, une large majorité de diplômés vont s’orienter ensuite vers le business development à l’international. 

Dans chaque promotion, nous pouvons retrouver différentes catégories de profils :

  • Ceux qui vont rester dans leur entreprise dans laquelle ils travaillent mais vont être envoyés pour diriger ou créer une succursale à l’international.

Exemple 1 : un diplômé qui travaillait pour une PME dans l’exploitation des centrales nucléaires est parti diriger l’exploitation au Canada.
Exemple 2 : un diplômé qui travaillait pour une entreprise française est parti développer la filiale en Afrique.

  • Ceux qui changent d’entreprise pour chercher un emploi à l’international, notamment dans les zones en croissance comme Dubaï ou l’Afrique subsaharienne.

  • Les professionnels en seconde partie de carrière et qui font le choix de créer leur entreprise en France ou à l’étranger.
    Exemple :  Un Directeur Financier d’une ETI qui a lancé son entreprise de location de trottinette et la production de films.

  • Les professionnels qui à environ 50 ans possèdent une solide expérience et souhaitent se lancer en freelance en consulting sur le business development international.

 

Quelles sont les qualités attendues des participants ?

Anne-Flore M.L, PhD : Les deux qualités essentielles pour un manager à l’international sont l’ouverture d’esprit et la curiosité. En effet, le participant ne doit pas arriver avec des idées pré-conçues. Nous recherchons des professionnels souhaitant découvrir des choses, lire des publications supplémentaires, s’intéresser aux cultures différentes de leurs camarades et des professeurs souvent très variées.

Ces dernières années, mon but a justement été d’apporter cette dimension humaine avec des cours de management lié au leadership. Par exemple, nous avons accueilli un nouveau module sur la prise de décision dans une situation d’incertitude et de risque qui s’intitule : comment se servir des outils de management de leadership dans l’armée pour un chef d’entreprise ?

 

Pour conclure, quels conseils donneriez-vous à un candidat ?

Anne-Flore M.L, PhD : Avant leur entrée en formation, j’envoie aux futurs participants plusieurs contenus à lire et à étudier afin de les préparer aux thématiques – comme la micro-économie – qui peuvent être des sujets techniques complexes durant le programme.

Pour les candidats internationaux qui souhaitent travailler en France, je leur conseille fortement de développer leur connaissance linguistique en français et inversement pour les français souhaitant s’exporter à l’étranger, je les invite à renforcer leur niveau d’anglais.

 

  

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